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ComitĂ©d'expansion Ă©conomique de l'Allier. Atlas dĂ©partemental des zones d'activitĂ© ComitĂ© d'expansion Ă©conomique. Cartographie et dĂ©cision. Suivez-nous. Avec le soutien du; Newsletter « La lettre des libraires » S'inscrire. Se dĂ©sinscrire. DisponibilitĂ©s. 5 226 562 articles en stock envoyĂ©s aujourd'hui ou demain ; Commandable, envoyĂ© d'ici 4 Ă  7 jours; ÉpuisĂ©, non publiĂ© ou comitÉd’expansion Économique de l’allier ceea; conseil dÉpartemental allier; conseil dÉpartemental nievre; credit agricole centre loire; d - g. dactyl buro du centre; davi; danielson engineering; db informatique; devcsi; deliver up; direct web; disi du pays du centre – dgfip; docorga; dpc design; ibanfirst r&d ; edf cnpe de belleville sur loire; edf cnpe de dampierre en COMITED EXPANSION ECONOMIQUE ALLIER | LinkedIn. COMITE D EXPANSION ECONOMIQUE ALLIER - Monde entier Étendre la recherche . Offres d’emploi Personnes E-learning Ignorer Ignorer. Ignorer. Ignorer. Ignorer. S’inscrire S’identifier. COMITE D EXPANSION ECONOMIQUE ALLIER Associations et organisations sociales et syndicales Voir les offres d’emploi Suivre SylvaineGILLON is the ChargĂ©e d'Etudes at ComitĂ© d'Expansion Economique de l'Allier / Invest in Allier based in France. Home; Products. Chrome Extension. Find contacts on the web. Prospector. Build highly targeted prospect lists. Bulk Finder. Find contacts by bulk company domains. Visitors. Turn website visitors into qualified leads . API. Put best-in-class data into your system. ComitĂ©d'expansion Ă©conomique de l'Allier. Observations sur les consĂ©quences, de l'implantation d'activitĂ©s nouvelles dans le dĂ©partement de l'Allier, du dĂ©veloppement de quelques industries Comment Rencontrer Quelqu Un Quand On Ne Sort Pas. Moulins CommunautĂ© est l’interlocuteur privilĂ©giĂ© des porteurs de projets par ses rĂ©seaux qu’ils soient institutionnels chambres consulaires, Etat, ComitĂ© d’Expansion Économique, Agence RĂ©gionale de DĂ©veloppement Économique ou financiers OSEO, banques
.Son objectif est d’accompagner et de soutenir aussi bien les entreprises existantes que les porteurs de projets dans leurs diffĂ©rentes dĂ©marches administratives, financiĂšres
 et ĂȘtre l’interface afin de faciliter ces qualitĂ© de l’environnement et l’équilibre dynamique des activitĂ©s prĂ©sentes sur notre territoire traduisent sa force et sa volontĂ© Ă  accueillir tout dĂ©veloppement dans des conditions optimales. Habile manoeuvrier de l'ombre, Deng Xiaoping, militant communiste de la premiĂšre heure, est Ă©liminĂ© par la vieille garde maoĂŻste mais il prend sa revanche Ă  la mort de Mao Zedong, quand lui-mĂȘme a dĂ©jĂ  plus de 70 ans. Avec pragmatisme et cynisme, il va faire entrer la RĂ©publique populaire de Chine dans l' Ă©conomie socialiste de marchĂ© »... BĂ©atrice Roman-Amat La dĂ©couverte de la politique Fils d'un riche propriĂ©taire fonciers du Sichuan, Deng Xiaoping part pour la France comme ouvrier-Ă©tudiant dans les annĂ©es 1920. Il travaille dans les usines Schneider, au Creusot, puis chez Hutchinson, Ă  Montargis. LĂ , il adhĂšre Ă  la branche europĂ©enne du Parti Communiste chinois et noue une amitiĂ© avec le jeune Zhou Enlai. AprĂšs un dĂ©tour par Moscou, il rentre en Chine en 1926 et rejoint Mao Zedong, qui a fondĂ© un rĂ©publique soviĂ©tique chinoise dans le Jiangxi. Lorsque Tchang KaĂŻ-chek investit les bases du Jiangxi, Deng Xiaoping participe Ă  la Longue Marche avec Mao. Dans la guerre civile qui suit, il s'affirme comme un stratĂšge respectĂ©. NommĂ© en 1945 au comitĂ© central du PCC, il en monte rapidement les Ă©chelons, aprĂšs l'Ă©tablissement du rĂ©gime communiste en 1949. Gouverneur de sa province natale puis vice-premier ministre et ministre de l'Ă©conomie, il reprĂ©sente une ligne plus pragmatique que celle du Grand Timonier », marquĂ©e au sceau de l'utopie rĂ©volutionnaire. Premiers succĂšs SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Parti entre 1956 et 1966, Deng Xiaoping s'impose progressivement comme le N°3 du rĂ©gime, aprĂšs Mao Zedong et Liu Shaoqi mais devant son ami et protecteur Zhou Enlai. En 1956, il supervise la campagne des Cent Fleurs » contre les intellectuels Il faut dĂ©raciner les mauvaises herbes pour s'en servir comme engrais », affirme-t-il. Mais deux ans plus tard, en 1958, il se montre beaucoup plus critique Ă  propos du Grand Bond en avant », un dĂ©sastre Ă©conomique Ă  l'origine de plus de trente millions de morts. Pragmatique, il lance en mars 1961 la plus cĂ©lĂšbre de ses formules Peu importe que le chat soit noir ou blanc pourvu qu'il attrape les souris ! » Il se montre Ă©galement favorable Ă  la rupture idĂ©ologique avec Moscou. Dans son dĂ©sir de remettre l'Ă©conomie sur pied, il Ă©labore en 1964 le programme des Quatre Modernisations ». Mao, craignant d'ĂȘtre dĂ©bordĂ©, se tourne vers la gauche du parti communiste, reprĂ©sentĂ©e par sa femme Jiang Qing. En 1966, les jeunes gardes rouges se dĂ©chaĂźnent contre les rĂ©visionnistes » Liu Shaoqi et Deng Xiaoping dans le cadre de la RĂ©volution culturelle ». De la disgrĂące au triomphe Deng Xiaoping figure parmi les premiĂšres victimes de cette nouvelle agitation. Il est Ă©vincĂ© de la scĂšne politique et, Ă  65 ans, doit se soumettre Ă  une rééducation forcĂ©e. Son fils est quant Ă  lui arrĂȘtĂ© et torturĂ© jusqu'Ă  perdre l'usage de ses jambes. Mais le pays s'enfonce dans le chaos et Mao, dĂ©semparĂ©, accepte en 1973 de le rĂ©habiliter Ă  la demande de Zhou Enlai. Il lui confie les postes de vice-premier ministre et chef d'Ă©tat-major avec mission de rĂ©tablir l'ordre. L'ancien rĂ©prouvĂ© apparaĂźt dĂ©sormais comme le dauphin du vieux chef ! Mais aprĂšs la mort de Zhou Enlai et de Mao Zedong en 1976, Deng Xiaoping trouve face Ă  lui la Bande des Quatre » de Jiang Qing, autrement dit la faction gauchiste du parti. Il est briĂšvement dĂ©mis de ses fonctions mais rĂ©habilitĂ© dĂšs l'annĂ©e suivante, aprĂšs l'Ă©viction de la Bande des Quatre ». Les annĂ©es Deng » Commencent en 1977 la dĂ©maoĂŻsation » et les annĂ©es Deng ». Celui que l'on surnomme dĂ©sormais le petit timonier », tant en raison de sa petite taille 1,50 m que par rĂ©fĂ©rence Ă  Mao, veut avant toute chose sortir la Chine populaire du marasme Ă©conomique. Le dĂ©fi est immense avec un cinquiĂšme de la population mondiale, le pays ne pĂšse guĂšre plus de 3% du PNB mondial... Dans un premier temps, Deng installe ses alliĂ©s au pouvoir, notamment Hu Yaobang et Zhao Ziang. Il les sacrifiera l'un aprĂšs l'autre, en 1987 et 1989, pour se concilier le clan conservateur, nostalgique d'un communisme pur et dur. Fort de sa popularitĂ©, en qualitĂ© de vieux chef historique et d'opposant Ă  Mao, Deng modernise le pays Ă  marche forcĂ©e. Il allĂšge la pression de l'État sur les entreprises et fait entrer la Chine au FMI et Ă  la Banque Mondiale. Fervent soutien de la propriĂ©tĂ© privĂ©e et de la libre entreprise, Deng Xiaoping crĂ©e quatre Zones Économiques SpĂ©ciales Shenzhen, Zhuhai et Shantou dans le Guangdong et Xiamen dans le Fujian afin de drainer des capitaux Ă©trangers. Ces ZES ou zones franches sont Ă  l'avant-garde du spectaculaire dĂ©veloppement Ă©conomique de la Chine. Le programme des Quatre Modernisations » industrie, agriculture, recherche, dĂ©fense ne prĂ©voit toutefois pas de libĂ©raliser le systĂšme politique. Seule concession Ă  la libertĂ© individuelle, certains sanctuaires chrĂ©tiens et bouddhistes sont Ă  nouveau ouverts au culte. Le pouvoir s'immisce plus que jamais dans la vie des Chinois en imposant en 1979 l'enfant unique toutes les familles de l'ethnie Han les Chinois proprement dits sont tenues de ne plus avoir qu'un enfant au maximum et toute une administration va se mettre pour traquer les contrevenants, contraignant des femmes Ă  avorter, incarcĂ©rant des couples ou soumettant les rĂ©calcitrants Ă  de trĂšs fortes amendes. Sont dispensĂ©es de cette limitation les minoritĂ©s ethniques y compris les OuĂŻghours, aujourd'hui persĂ©cutĂ©s. Cette politique de l'enfant unique » vise Ă  rĂ©duire la croissance dĂ©mographique dans un pays qui frise le milliard d'habitants en 1980 mais elle arrive mal Ă  propos car, dans les faits, la fĂ©conditĂ© chinoise a dĂ©jĂ  amorcĂ© une dĂ©crue spectaculaire comme dans la plupart des autres pays Afrique exceptĂ©e, de 6 enfants par femme en 1970 Ă  2,5 en 1980. Pour des motifs anthropologiques qui Ă©chappent Ă  la raison, elle va poursuivre sa dĂ©crue jusqu'Ă  1,5 enfants par femme en 2010. Craignant un vieillissement trop brutal de la population, le pouvoir va abroger cette politique en 2016 et, en 2021, autoriser les familles Ă  avoir 3 enfants... En attendant, Deng Xiaoping se rĂ©sout Ă  quitter la direction du Parti en 1987 mais continue d'oeuvrer dans l'ombre. Il est prĂ©sident de la commission des affaires militaires du PCC quand Ă©clatent les troubles sociaux de mai-juin 1989, liĂ©s Ă  l'absence d'Ă©volution des libertĂ©s civiques, et approuve personnellement l'Ă©crasement dans le sang des manifestations de la place Tienanmen. En 1992, il se replace en revanche dans la dynamique de l'ouverture au capitalisme en lançant la doctrine de l'Ă©conomie socialiste de marchĂ© », contre l'opposition conservatrice au sein du Parti. Il installe Ă  la prĂ©sidence de la RĂ©publique Jiang Zemin et se retire progressivement des affaires politiques, avant de disparaĂźtre en 1997. Sous la prĂ©sidence de l'amĂ©ricanophile Jiang Zemin, la Chine va poursuivre son expansion Ă©conomique avec un taux de croissance de l'ordre de 10% par an, du jamais vu dans l'histoire de l'humanitĂ©, d'autant que cette croissance concerne plus d'un milliard d'hommes et se prolonge pendant trois dĂ©cennies, jusqu'en 2012. Mais elle va aussi de pair avec une aggravation spectaculaire de la corruption et des inĂ©galitĂ©s sociales et gĂ©ographiques. Pour y remĂ©dier, le prĂ©sident Hu Jintao, successeur de Jiang Zemin en 2003, amorce une timide politique sociale et environnementale. Quoi qu'il en soit de ces faiblesses, l'entrĂ©e de la Chine Ă  l'OMC Organisation Mondiale du Commerce en 2001, le succĂšs des Jeux Olympiques de PĂ©kin en 2008 et l'accession de la Chine populaire au deuxiĂšme rang des puissances Ă©conomiques mondiales consacrent le triomphe posthume de Deng Xiaoping. PubliĂ© ou mis Ă  jour le 2022-01-12 182919 Mercredi le 25 dĂ©cembre 2019, j’écrivais un article trĂšs consultĂ© et partagĂ©, s’intitulant “L’organisme Deagel prĂ©voit la dĂ©population mondiale massive de 50 Ă  80% d’ici 2025”. Cet article fut publiĂ© exactement un mois avant que l’Organisation mondiale de la santĂ© n’alerte dans un premier temps la RĂ©publique populaire de Chine et ses autres États membres, puis prononce l’état d’urgence de santĂ© publique de portĂ©e internationale, et trois mois avant que l’épidĂ©mie de Covid-19 ne soit dĂ©clarĂ©e pandĂ©mie par l’OMS WikipĂ©dia. Je me dois aujourd’hui de revenir sur ce premier article puisque Deagel a dĂ©cidĂ© de supprimer Ă©trangement ses prĂ©visions 2025 de son site internet, dans le but Ă©vident de camoufler les donnĂ©es dans le cadre de la crise internationale que nous vivons actuellement. Par chance, nous avons toujours accĂšs aux archives grĂące Ă  Wayback Machine, ce qui nous permet de dĂ©montrer que ce qui a Ă©tĂ© publiĂ© il y a prĂšs de deux ans n’était pas de la fausse information. En effet, voici comment on peut voir aujourd’hui la liste des pays sur le site Web de Deagel, et comment on pouvait la voir au moment oĂč j’écrivais mon article le 25 dĂ©cembre 2019. Le 20 avril 2021, l’agence de renseignement militaire Deagel a supprimĂ© sa mystĂ©rieuse feuille de calcul de prĂ©visions 2025 [archive du 17 avril] qui prĂ©disait un effondrement majeur des pays occidentaux. Ces informations existaient auparavant dans la section des prĂ©visions » forecast, mais aujourd’hui cette page redirige simplement vers la page d’accueil du site Web. [Consultez l’archive] La feuille de calcul prĂ©voyait une baisse importante de la population amĂ©ricaine de 327 millions en 2017 Ă  seulement 100 millions en 2025 -70%. Vous pouvez voir l’archive sur Wayback Machine en cliquant sur ce lien. Deagel est l’agence de renseignement la plus secrĂšte d’AmĂ©rique – si secrĂšte que peu de gens connaissent son existence et d’autres prĂ©tendent que l’organisation n’existe pas du tout lĂ©gitimement. MalgrĂ© la suppression Ă©crasante de son importance, Deagel est rĂ©guliĂšrement utilisĂ© par la CIA et d’autres services de sĂ©curitĂ©. Des documents de WikiLeaks ont rĂ©vĂ©lĂ© que Deagel Ă©tait lĂ©gitimement utilisĂ© comme document de rĂ©fĂ©rence dans un rapport Stratfor sur les capacitĂ©s technologiques de la RĂ©publique populaire de CorĂ©e du Nord. Stratfor est connu dans la communautĂ© du renseignement sous le nom de Consultant CIA ou Shadow CIA. Selon leur propre site internet, Deagel fournit des informations et des renseignements sur l’aviation militaire internationale et les technologies de pointe. Le site Web contient des articles remontant Ă  2002, mais on sait peu de choses sur les vrais propriĂ©taires. Les rapports de Deagel, en particulier les recherches susmentionnĂ©es sur la CorĂ©e du Nord, ont Ă©galement Ă©tĂ© fournis au prĂ©sident lors des briefings prĂ©sidentiels de Dialy. Deagel fournit ainsi des informations qui sont ensuite utilisĂ©es par les communautĂ©s mondiales du renseignement et les gouvernements. Et avant d’écarter les chiffres de Deagel, il est trĂšs important de savoir que leurs sources SONT l’État profond ». La CIA, le dĂ©partement amĂ©ricain de la DĂ©fense, le dĂ©partement d’État amĂ©ricain et la Banque mondiale fournissant des donnĂ©es pour leurs prĂ©dictions. Leurs sources indiquent clairement que quoi que sache Deagel, l’État profond le sait aussi ! Voici une liste partielle des partenaires et clients connus de Deagel, selon leur propre site Web Agence de SĂ©curitĂ© Nationale, Organisation du TraitĂ© de l’Atlantique Nord OTAN – OTAN, Organisation de coopĂ©ration et de dĂ©veloppement Ă©conomiques OCDE, ECOS, Agence russe d’approvisionnement en matiĂšre de dĂ©fense, Stratfor, la Banque mondiale, les Nations Unies ONU. À propos de Deagel Deagel, une vĂ©ritable organisation de renseignement pour le gouvernement amĂ©ricain, prĂ©voit une dĂ©population mondiale massive de 50 Ă  80% d’ici 2025. L’intĂ©rĂȘt de ces prĂ©visions, c’est que le site de Deagel n’a pas de conflit d’intĂ©rĂȘts dans ces prĂ©visions. Ce sont littĂ©ralement des mercenaires. Le site analyse quels budgets seront allouĂ©s Ă  quels marchĂ©s pour acheter des avions militaires. C’est tout ce qui leur importe vraiment. Ces prĂ©visions s’appuient sur le rapprochement de diffĂ©rents rapports, accessibles au public, d’institutions telles que la CIA, le FMI et l’ONU. Ils comprennent Ă©galement une petite quantitĂ© de donnĂ©es provenant d’une variĂ©tĂ© de sources de l’ombre » comme les gurus du net. Mais toutes ces sources sont sur internet. La liste est en constante Ă©volution. Les prĂ©visions de croissance ou de dĂ©clin de la population, les dĂ©penses militaires et la paritĂ© de pouvoir d’achat dans tous les pays du monde ont quelque peu fluctuĂ©, mais, depuis 2015, une prĂ©diction n’a pas changĂ© la Chine sera la plus importante Ă©conomie de la planĂšte en 2025. Cette organisation de renseignement hautement considĂ©rĂ©e a de sombres perspectives pour les États-Unis, notamment une diminution de 81% de sa population, passant de 327 millions d’habitants en 2017 Ă  100 millions en 2025 [archive]. En fait, elle prĂ©dit un sort cataclysmique similaire pour le Royaume-Uni, l’Australie, l’Allemagne, le Japon, le Danemark et d’autres pays alliĂ©s des États-Unis. Par exemple, selon Deagel, la population de la France passera de 67 millions d’habitants en 2017 Ă  39 millions en 2025 [archive], celle du Royaume-Uni passera de 66 millions Ă  15 millions [archive], celle de l’Australie de 23 millions Ă  15 millions [archive], celle de l’Allemagne de 81 millions Ă  28 millions [archive], tandis que la population du Canada passera de 36 millions d’habitants en 2017 Ă  26 millions en 2025 [archive]. Pour rendre les choses encore plus Ă©tranges, une dĂ©claration sur la page de prĂ©visions de Deagel prĂ©tendait Ă  l’époque que les mouvements de population sont dus au suicide et nous assure que l’organisation n’est pas un marchand de mort ou de culte satanique » Historiquement, un changement dans le paradigme Ă©conomique a entraĂźnĂ© un nombre de morts qui est rarement soulignĂ© par les historiens traditionnels. Lorsque la transition des zones rurales vers les grandes villes s’est produite en Europe, de nombreuses personnes incapables d’accepter le nouveau paradigme se sont suicidĂ©es. Ils se sont suicidĂ©s par un facteur psychologique. Ce n’est pas courant mais c’est vrai. Une nouvelle crise associe d’anciens modĂšles bien connus Ă  de nouveaux. Nous ne sommes pas un marchand de mort ou de culte satanique ou d’armes car certaines rumeurs flottent sur Internet Ă  ce sujet. » Tenez compte du fait que la prĂ©vision n’est rien d’autre qu’un modĂšle, qu’il soit erronĂ© ou correct. Ce n’est pas la parole de Dieu ou un appareil magique qui permet de prĂ©voir l’avenir. » — La dĂ©population mondiale massive de 50 Ă  80% selon Deagel. Cliquez sur les images pour les agrandir. Deagel explique comment elle Ă©tablit ses prĂ©visions Source — La majoritĂ© des donnĂ©es Ă©conomiques et dĂ©mographiques utilisĂ©es pour Ă©tablir les prĂ©visions sont largement disponibles auprĂšs d’institutions telles que la CIA, le FMI, l’ONU, le gouvernement amĂ©ricain, etc. Il existe une infime partie des donnĂ©es provenant d’une variĂ©tĂ© de sources fantĂŽmes telles que les gourous d’Internet, les rapports non signĂ©s et autres. Mais toutes ces sources proviennent d’Internet et sont du domaine public pour au moins une minoritĂ©. Par exemple, il y a plusieurs annĂ©es, Dagong, l’agence de notation chinoise, a publiĂ© un rapport analysant l’économie physique des États en la comparant Ă  celle de la Chine, de l’Allemagne et du Japon. La conclusion Ă©tait que le PIB amĂ©ricain se situait entre 5 000 et 10 000 milliards de dollars au lieu de 15 000 milliards de dollars, comme l’a dĂ©clarĂ© officiellement l’USG. Nous supposons que les donnĂ©es officielles, notamment Ă©conomiques, publiĂ©es par les gouvernements sont fausses ou dĂ©formĂ© dans une certaine mesure. Historiquement, il est bien connu que l’ancienne Union soviĂ©tique Ă©tablissait de fausses statistiques des annĂ©es avant son effondrement. L’Occident ainsi que d’autres pays inventent aujourd’hui leur nombre pour cacher leur vĂ©ritable situation. Nous sommes sĂ»rs que de nombreuses personnes peuvent trouver des statistiques gouvernementales dans leur propre pays qui, par leur propre expĂ©rience personnelle, sont difficiles Ă  croire ou sont si optimistes qu’elles peuvent appartenir Ă  un autre pays. MalgrĂ© la quantitĂ© » de donnĂ©es numĂ©riques, il existe un modĂšle de qualitĂ© » qui n’a pas de traduction directe en donnĂ©es numĂ©riques. La souche d’Ebola de 2014 a un taux de mortalitĂ© de 50 Ă  60%, mais essayez d’imaginer ce qui se passerait s’il y avait une pandĂ©mie d’Ebola avec des centaines de milliers ou des millions de personnes infectĂ©es par le virus. Jusqu’à prĂ©sent, les quelques cas de personnes infectĂ©es par le virus Ebola ont “bĂ©nĂ©ficiĂ©â€ de soins de santĂ© intensifs avec assistance antivirale et respiratoire, mais surtout avec un soutien humain abondant de mĂ©decins et d’infirmiĂšres. Dans un scĂ©nario de pandĂ©mie, ce type de soins de santĂ© ne sera pas disponible pour le nombre Ă©crasant d’infectĂ©s, ce qui entraĂźnera une augmentation spectaculaire du taux de mortalitĂ© en raison du manque de soins de santĂ© appropriĂ©s. Le facteur qualitĂ© » est que le taux de mortalitĂ© pourrait augmenter de 80 Ă  90% dans un scĂ©nario de pandĂ©mie par rapport au taux dĂ©clarĂ© de 50 Ă  60%. Le chiffre lui-mĂȘme n’a pas d’importance ce qui est pertinent est le fait que le scĂ©nario peut Ă©voluer au-delĂ  des conditions initiales d’un bilan de 50% Ă  plus de 90%. Soit dit en passant, aucune pandĂ©mie ou guerre nuclĂ©aire n’est incluse dans les prĂ©visions. L’élĂ©ment clĂ© pour comprendre le processus dans lequel les États-Unis entreront dans la prochaine dĂ©cennie est la migration. Dans le passĂ©, en particulier au 20e siĂšcle, le facteur clĂ© qui a permis aux États-Unis d’atteindre leur statut de colosse Ă©tait l’immigration avec les avantages d’une expansion dĂ©mographique favorisant l’expansion du crĂ©dit et la fuite des cerveaux du reste du monde au profit des États. L’effondrement du systĂšme financier occidental anĂ©antira le niveau de vie de sa population tout en mettant fin aux rĂ©gimes de ponzi tels que la bourse et les fonds de pension. La population sera si durement touchĂ©e par un Ă©ventail complet de bulles et de plans de ponzi que le moteur de migration commencera Ă  fonctionner en accĂ©lĂ©ration inverse en raison d’effets d’entraĂźnement, conduisant ainsi Ă  la disparition des États. Cette situation invisible pour les États se dĂ©veloppera en cascade avec des effets sans prĂ©cĂ©dent et dĂ©vastateurs pour l’économie. La dĂ©localisation des emplois se terminera sĂ»rement avec de nombreuses sociĂ©tĂ©s amĂ©ricaines se dĂ©localisant Ă  l’étranger devenant ainsi des sociĂ©tĂ©s Ă©trangĂšres !!!! Nous voyons une partie importante de la population amĂ©ricaine migrer vers l’AmĂ©rique latine et l’Asie tandis que la migration vers l’Europe — souffrant d’une maladie similaire — ne sera pas pertinente. NĂ©anmoins, le nombre de morts sera horrible. Tenez compte du fait que la population de l’Union soviĂ©tique Ă©tait plus pauvre que les AmĂ©ricains de nos jours ou mĂȘme alors. Les ex-SoviĂ©tiques ont souffert au cours de la lutte suivante dans les annĂ©es 1990 avec un nombre important de morts et une perte de fiertĂ© nationale. Pourrait-on dire deux fois la fiertĂ©, le double de la chute » ? Nan. Le niveau de vie amĂ©ricain est l’un des plus Ă©levĂ©s, bien plus du double des SoviĂ©tiques tout en ayant ajoutĂ© une Ă©conomie de services qui accompagnera le systĂšme financier. Lorsque les retraitĂ©s voient leur retraite disparaĂźtre sous leurs yeux et qu’il n’y a pas d’emplois de service, vous pouvez imaginer ce qui va se passer ensuite. Au moins, les jeunes peuvent migrer. Jamais dans l’histoire humaine il n’y a eu autant d’anciens dans la population. Au cours des siĂšcles passĂ©s, les gens ont eu la chance d’atteindre la trentaine ou la quarantaine. La chute amĂ©ricaine devrait ĂȘtre bien pire que celle de l’Union soviĂ©tique. Une confluence de crise avec un rĂ©sultat dĂ©vastateur. La crise dĂ©mographique dans les anciens pays de l’Union soviĂ©tique s’est Ă©tendue pendant plus de deux dĂ©cennies, si l’on admet qu’elle s’est terminĂ©e au dĂ©but de cette dĂ©cennie annĂ©es 2010. La crise dĂ©mographique frappera le monde dans un avenir proche et devrait durer entre trois et huit dĂ©cennies plus ou moins en fonction des avancĂ©es technologiques et des problĂšmes environnementaux. La consĂ©quence est plus probablement une image figĂ©e avec le nombre de population restant le mĂȘme pendant une trĂšs, trĂšs longue pĂ©riode de temps. Les pays prĂ©voient que les chiffres de population reflĂštent les naissances / dĂ©cĂšs mais aussi les mouvements migratoires. De nombreux pays vont augmenter leur population brute en raison de l’immigration tandis que leur population indigĂšne pourrait diminuer. Au cours des deux mille derniĂšres annĂ©es, nous avons vu la civilisation occidentale construite autour de la mer MĂ©diterranĂ©e se dĂ©placer vers l’Europe du Nord, puis au milieu du XXe siĂšcle, se dĂ©placer vers un axe atlantique pour finalement se concentrer sur les États-Unis au cours des 30 derniĂšres annĂ©es. La prochaine Ă©tape verra la civilisation centrĂ©e sur l’Asie avec la Russie et la Chine au sommet. Historiquement, un changement dans le paradigme Ă©conomique a entraĂźnĂ© un nombre de morts qui est rarement soulignĂ© par les historiens traditionnels. Lorsque la transition des zones rurales vers les grandes villes s’est produite en Europe, de nombreuses personnes incapables d’accepter le nouveau paradigme se sont suicidĂ©es. Elles se sont suicidĂ©es par un facteur psychologique. Ce n’est pas courant mais c’est vrai. Une nouvelle crise associe d’anciens modĂšles bien connus Ă  de nouveaux. DĂ©solĂ© de dĂ©cevoir beaucoup d’entre vous avec nos prĂ©visions. Elles s’aggravent de plus en plus chaque annĂ©e depuis le dĂ©but de la prĂ©-crise en 2007. Il est dĂ©jĂ  dit que ce site est Ă  but non lucratif, construit sur le temps libre et nous fournissons nos informations et services TELS QUELS sans autres explications et / ou garanties. Nous ne sommes liĂ©s Ă  aucun gouvernement, de quelque maniĂšre que ce soit. Nous ne sommes pas un marchand de mort ou de culte satanique ou d’armes car certaines rumeurs flottent sur Internet Ă  ce sujet. Tenez compte du fait que la prĂ©vision n’est rien d’autre qu’un modĂšle, qu’il soit erronĂ© ou correct. Ce n’est pas la parole de Dieu ou un appareil magique qui permet de prĂ©voir l’avenir. Historiquement, un changement dans le paradigme Ă©conomique a entraĂźnĂ© un nombre de morts qui est rarement soulignĂ© par les historiens traditionnels. »— RÉFÉRENCES Admin just removed 2025 forecast predicting a 70% drop in the US population to 99 million ». See More Rocks, April 24, COVID19 / Intelligence & Espionage America’s Most Secret Intelligence Agency Deagel Forecasts Depopulation Of The World From COVID-19 Crisis & Great Reset ». GreatGameIndia Journal of Geopolitics and International Relations, April 9, Collapse Doug Casey on the Shocking 2025 Deagel Forecast
 War, Population Reduction and the Collapse of the West ». Doug Casey’s International Pluym Connaissez-vous ? ». CommonSenseTV, 22 juillet 2021. FĂ©licitation pour votre implication dans ce chaos. » 👏👏 ― JosĂ©e Dumais Merci pour votre excellent travail, pour faire respecter nos droits et libertĂ©s. » ― Guy Paradis Un gros merci pour tout ton travail acharnĂ©, c’est vraiment intĂ©ressant!!! » ― Daniel Julien PlutĂŽt que de s’engager directement dans un conflit qui pourrait dĂ©gĂ©nĂ©rer en nouvelle guerre mondiale et nuclĂ©aire, AmĂ©ricains et EuropĂ©ens ont choisi d’employer l’arme des sanctions Ă©conomiques pour imposer le maximum de coĂ»ts au rĂ©gime de Vladimir Poutine, aux oligarques qui le soutiennent et, en dernier ressort, Ă  la population russe. Depuis le 24 fĂ©vrier, ces mesures suscitent une sĂ©rie d’interrogations quels sont les objectifs des sanctions Ă©conomiques ? Peuvent-elles ĂȘtre efficaces, contrarier les plans de Vladimir Poutine ou affaiblir son autoritĂ© ? Sont-elles bien calibrĂ©es, et quels coĂ»ts feront-elles peser sur l’économie mondiale et sur les consommateurs des pays qui les ont dĂ©cidĂ©es ? En quelques jours Ă  peine, l’ampleur des sanctions gel des avoirs Ă  l’étranger des oligarques, exclusion des principales grandes banques russes du systĂšme Swift, arrĂȘt des importations de matĂ©riel technologique, blocage des rĂ©serves de change dĂ©tenues par la banque centrale russe Ă  l’étranger, clĂŽture des espaces aĂ©riens, etc. a montrĂ© la dĂ©termination des AmĂ©ricains et des EuropĂ©ens Ă  ne pas s’en tenir au business as usual », face Ă  la gravitĂ© de l’attaque lancĂ©e par la Russie contre la souverainetĂ© de l’Ukraine. Les sanctions sont-elles, pour autant, une arme » Ă  proprement parler ? Elles sont un moyen dĂ©tournĂ© d’affaiblir la puissance russe, sans avoir Ă  lui dĂ©clarer officiellement la guerre. L’instrument, que les AmĂ©ricains utilisent dĂ©jĂ  depuis plusieurs dĂ©cennies contre Cuba, l’Irak, l’Iran ou la Russie, n’est pas neuf [1]. D’une ampleur inĂ©dite et coordonnĂ©es Ă  l’échelle internationale mĂȘme si de nombreux pays asiatiques et africains se sont abstenus lors du vote d’une rĂ©solution de l’ONU appelant au retrait des troupes russes, les sanctions actuelles sont destinĂ©es Ă  isoler la Russie de l’économie mondiale Ă  l’exception notable de la Chine, pour la contraindre Ă  assumer pleinement les coĂ»ts Ă©conomiques et sociaux de sa guerre de choix. Sous une forme par nature incomplĂšte et insatisfaisante, les sanctions visent Ă  produire une sorte d’équivalence entre les souffrances infligĂ©es aux civils ukrainiens et les dommages causĂ©s Ă  l’économie russe et Ă  ses habitants. L’usage de sanctions Ă©conomiques pour Ă©viter une guerre, punir un pays ou provoquer un changement de rĂ©gime trouve son origine, selon l’historien Nicholas Mulder, dans la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle, Ă  la fin de la PremiĂšre Guerre mondiale. Paru il y a quelques semaines Ă  peine, son livre, issu d’une thĂšse de doctorat soutenue Ă  l’universitĂ© Columbia New York, a rencontrĂ© un vif intĂ©rĂȘt public et mĂ©diatique, aiguisĂ© par les tragiques Ă©vĂ©nements des jours derniers. Au-delĂ  de ce contexte immĂ©diat, il s’agit d’un trĂšs bon livre qui illustre les renouvellements de l’histoire internationale, une approche croisant l’analyse des enjeux gĂ©opolitiques, des formes de la mondialisation Ă©conomique, du gouvernement des populations, ou des mobilisations transnationales de la sociĂ©tĂ© civile. Dans le prolongement de plusieurs recherches publiĂ©es rĂ©cemment par Susan Pedersen, Glenda Sluga, Patricia Clavin, Mark Mazower, Jamie Martin, Daniel Laqua, Natasha Wheatley, etc. [2], l’auteur réévalue l’importance de la SociĂ©tĂ© des Nations et des dĂ©bats qui s’y sont dĂ©roulĂ©s durant l’entre-deux-guerres pour comprendre les principes et les mĂ©canismes sur lesquels s’est construit l’ordre international de l’aprĂšs-1945. Blocus et guerre totale L’histoire des sanctions Ă©conomiques commence bien avant le XXe siĂšcle, lors des guerres napolĂ©oniennes avec le cĂ©lĂšbre Blocus continental puis avec l’expansion des impĂ©rialismes europĂ©ens au XIXe siĂšcle. Mais c’est bien dans le creuset de la PremiĂšre Guerre mondiale que s’opĂšre leur systĂ©matisation, sous l’effet du processus de mobilisation totale des sociĂ©tĂ©s en guerre sur le plan militaire, Ă©conomique, industriel, culturel et idĂ©ologique, etc.. Pour Mulder, l’origine des sanctions se trouve au croisement entre la mondialisation Ă©conomique qui crĂ©e les conditions d’une trĂšs grande interdĂ©pendance entre pays, multipliant en retour les sources potentielles de leur vulnĂ©rabilitĂ© et l’émergence de la guerre totale. Les mesures de blocus appliquĂ©es par le Royaume-Uni et la France, soutenus par les États-Unis, finissent par Ă©touffer les puissances centrales, coupĂ©es de leurs sources d’approvisionnement en matiĂšres premiĂšres et en capitaux. C’est au sein des ministĂšres chargĂ©s d’appliquer le blocus que se recrutent les plus fervents dĂ©fenseurs du recours aux sanctions dans les annĂ©es de l’immĂ©diat aprĂšs-guerre. Ces experts, fonctionnaires et responsables politiques ont pris conscience des effets considĂ©rables que l’arrĂȘt du commerce produit sur les puissances ennemies et sur leurs populations civiles. Entre 300 et 400 000 personnes seraient mortes de faim ou de maladie en Europe centrale durant la PremiĂšre Guerre, prĂšs de 500 000 dans les provinces moyen-orientales de l’Empire ottoman. L’arme Ă©conomique », comme l’appellent les Français, n’est pas un tigre de papier » elle appauvrit, affame et dĂ©cime les populations qui la subissent, Ă  tel point que des associations de dĂ©fense de la sociĂ©tĂ© civile protestent contre leur usage indiscriminĂ© une fois les combats terminĂ©s. La question est alors posĂ©e de savoir si les mesures de blocus, appliquĂ©es pendant la guerre, peuvent continuer Ă  ĂȘtre utilisĂ©es en temps de paix, tout en sachant que la frontiĂšre entre guerre et paix demeure tĂ©nue, surtout dans l’Europe des annĂ©es 1918-1919, marquĂ©e par les consĂ©quences de la rĂ©volution bolchĂ©vique, les soulĂšvements d’inspiration socialiste ou communiste et le dĂ©membrement des empires continentaux. Les architectes de la paix, qui se rĂ©unissent Ă  Paris au premier semestre 1919, veulent construire un ordre international fondĂ© sur des mĂ©canismes contraignants. C’est parmi d’authentiques libĂ©raux que prend corps l’idĂ©e de doter la SociĂ©tĂ© des Nations, nouvelle organisation créée par le TraitĂ© de Versailles, de la capacitĂ© d’infliger des sanctions Ă  ceux de ses membres qui dĂ©rogeraient aux rĂšgles du droit international. CĂŽtĂ© britannique, Lord Robert Cecil, un fervent dĂ©fenseur du libre-Ă©change en charge du ministĂšre du blocus pendant la guerre, prĂ©conise cette solution, tout comme le radical-socialiste français LĂ©on Bourgeois, qui reçoit le prix Nobel de la Paix en 1920. Une arme de dissuasion Les promoteurs des sanctions sont, dans l’ensemble, des libĂ©raux internationalistes qui croient dans la capacitĂ© du droit international Ă  prĂ©venir les conflits par l’arbitrage et Ă  imposer des normes universelles. Mais ils considĂšrent Ă©galement que le droit international ne peut s’appliquer sans mĂ©canisme d’exĂ©cution enforcement mechanism. Toute violation du droit international, toute atteinte portĂ©e Ă  la sĂ©curitĂ© collective, doit se payer sur le terrain Ă©conomique et financier. L’usage des sanctions implique qu’il ne soit plus possible de continuer Ă  commercer librement avec un État qui mĂšne une guerre d’agression. Les sanctionnistes », comme les appelle Mulder, ne croient plus aux vertus pacificatrices du doux commerce ». À la sortie de la guerre, les rĂ©gimes de sanctions imposĂ©s pendant le conflit restent en vigueur. La famine sĂ©vit en Autriche-Hongrie en 1918-1919, puis en Russie au dĂ©but des annĂ©es 1920. Ceux qui prĂ©conisent le maintien des restrictions Ă©conomiques soutiennent en parallĂšle le dĂ©ploiement d’une intense activitĂ© humanitaire auprĂšs des populations civiles. L’usage combinĂ© des sanctions et des mesures humanitaires s’inscrit dans un contexte gĂ©opolitique extrĂȘmement tendu. En Hongrie, les vainqueurs de la guerre maintiennent leurs sanctions pour affaiblir le gouvernement communiste de BĂ©la Kun, finalement dĂ©fait par la Roumanie et contraint de fuir Ă  l’étĂ© 1919. Herbert Hoover, en charge de l’American Relief Administration, prend peu Ă  peu ses distances avec le recours aux sanctions, dont il perçoit les effets potentiellement contreproductifs, notamment lorsque les Bolcheviks s’en emparent pour accuser les États-Unis et leurs alliĂ©s d’affamer la population russe. Outre-Manche, l’économiste John Maynard Keynes s’inquiĂšte des effets conjuguĂ©s des lourdes rĂ©parations imposĂ©es Ă  l’Allemagne et de l’hypothĂšse du recours aux sanctions Ă©conomiques sur la stabilitĂ© du nouvel ordre international. L’application de sanctions Ă©conomiques est prĂ©vue Ă  l’article 16 du Pacte de la SociĂ©tĂ© des Nations, adoptĂ© le 28 juin 1919 [3]. Si le principe est actĂ©, tout reste ouvert quant Ă  sa mise en Ɠuvre. Les Français militent pour l’instauration de sanctions automatiques en cas de guerre. La dĂ©cision du SĂ©nat amĂ©ricain de ne pas ratifier le TraitĂ© de Versailles, qui conduit au retrait des États-Unis de la SDN, affaiblit cette hypothĂšse. Dans l’ensemble, les promoteurs de l’arme Ă©conomique la pensent d’abord sous l’angle de la dissuasion, la menace des sanctions devant suffire Ă  dĂ©courager un État-membre de se lancer dans un conflit armĂ©. C’est d’ailleurs Ă  ce titre que les sanctions sont Ă©voquĂ©es lors de deux conflits du dĂ©but des annĂ©es 1920, d’abord pour dĂ©samorcer les vellĂ©itĂ©s guerriĂšres de la Yougoslavie contre l’Albanie en 1921, ensuite pour Ă©viter un conflit entre la GrĂšce et la Bulgarie en 1925. Mais il ne s’agit encore lĂ  que de pays de second rang », qui s’exposent aux foudres des grandes puissances sans menacer l’ensemble de l’ordre international. Sanctions, guerres de conquĂȘte et autarcie La Grande DĂ©pression et le tournant autoritaire qui l’accompagne, en Europe et en Asie, projettent les sanctions dans une nouvelle dimension. Il ne s’agit plus seulement de discipliner quelques pays en mal de ressources ou de territoires, mais de rĂ©agir face Ă  la montĂ©e globale des impĂ©rialismes et des militarismes dans les annĂ©es 1930. Alors que le commerce et le systĂšme monĂ©taire international se fracturent, sous l’effet notamment de la fin du rĂ©gime de l’étalon-or, des conflits militaires d’une toute autre ampleur se profilent. L’invasion japonaise de la Mandchourie, en 1931, constitue une premiĂšre mise Ă  l’épreuve. La SociĂ©tĂ© des Nations assiste impuissante Ă  la crĂ©ation du Manchoukouo sous contrĂŽle japonais, jusqu’au dĂ©part du Japon de la SDN en 1933. AprĂšs moult hĂ©sitations, les autoritĂ©s amĂ©ricaines renoncent elles aussi Ă  exercer des sanctions, sous la prĂ©sidence de Herbert Hoover. La premiĂšre vĂ©ritable mise en application des sanctions Ă©conomiques a lieu lors de la guerre menĂ©e par l’Italie fasciste contre l’Éthiopie de HaĂŻlĂ© SĂ©lassiĂ© en 1935. Les deux pays Ă©tant membres de la SDN, la guerre coloniale lancĂ©e par Mussolini entre directement dans le champ d’application prĂ©vu Ă  l’article 16. Les pays de la SDN s’efforcent de couper l’Italie de ses sources de financement extĂ©rieur en bloquant ses exportations, sans interrompre toutefois ses importations de pĂ©trole, une mesure que les États-Unis renoncent Ă  soutenir les compagnies pĂ©troliĂšres amĂ©ricaines contrĂŽlent Ă  l’époque 60 % de la production mondiale de pĂ©trole.... Ces sanctions, bien rĂ©elles, ne suffisent pas Ă  freiner la violence de l’agression fasciste. Elles ont plutĂŽt pour effet de rapprocher l’Italie de l’Allemagne nazie. Le recours aux sanctions, s’il ne permet pas d’empĂȘcher la guerre ni l’embrasement de l’Europe, accĂ©lĂšre des transformations Ă©conomiques en cours depuis le dĂ©but des annĂ©es 1930. Pour contrer les sanctions, les autoritĂ©s fascistes appellent Ă  la mobilisation de toute la population, par la collecte de l’or et des bijoux, la modĂ©ration des comportements de consommation et la recherche d’autres sources de production Ă©nergĂ©tique mais l’Italie de Mussolini reste massivement dĂ©pendante du charbon et du pĂ©trole qu’elle importe. Les rĂ©gimes autoritaires et totalitaires, Allemagne nazie et Japon en tĂȘte, accĂ©lĂšrent leurs projets d’autarcie Ă©conomique, ce qui les conduit Ă  vouloir prendre le contrĂŽle de territoires riches en ressources agricoles et minĂ©rales. Conçues comme un instrument diplomatique, les sanctions reconfigurent les relations Ă©conomiques internationales. Dans son dernier chapitre, le livre aborde un autre versant des sanctions, celui des aides Ă©conomiques et financiĂšres apportĂ©es aux pays victimes d’une agression. Ce volet positif » des sanctions, qui a notamment les faveurs de John Maynard Keynes, se matĂ©rialise durant la DeuxiĂšme Guerre mondiale Ă  travers le programme prĂȘt-bail Lend Lease mis en place par les États-Unis en 1941. Aux sanctions imposĂ©es contre les puissances de l’Axe rĂ©pondent les facilitĂ©s de crĂ©dit accordĂ©es aux pays qui souhaitent acheter du matĂ©riel et des munitions aux États-Unis. Comme le montre Mulder, l’histoire des sanctions est indissociable de celle des politiques d’aide et de dĂ©veloppement, qui deviennent un enjeu de rivalitĂ©s globales au cours de la guerre froide. Insuffisantes, inefficaces mais nĂ©cessaires ? À quoi servent, in fine, les sanctions Ă©conomiques ? Sont-elles l’arme des faibles, la seule que les pays ayant renoncĂ© Ă  la guerre puissent opposer Ă  la violence des bombes et des fusils ? Peuvent-elles vraiment infliger des coĂ»ts suffisants aux rĂ©gimes qu’elles visent pour espĂ©rer les ramener Ă  la raison ou Ă©branler leurs fondements ? L’enquĂȘte de Nicholas Mulder a pour intĂ©rĂȘt de rendre visible la pluralitĂ© des objectifs dont les sanctions ont pu ĂȘtre investies au cours du XXe siĂšcle. Au dĂ©but des annĂ©es 1920, leurs promoteurs les dĂ©fendaient d’autant plus qu’ils espĂ©raient ne pas avoir Ă  les appliquer la menace des sanctions devait suffire, selon eux, Ă  repousser le spectre de la guerre. D’autres, plus maximalistes Ă  l’image de Woodrow Wilson Ă  la fin de la PremiĂšre Guerre mondiale, ont voulu voir dans les sanctions un moyen de provoquer des changements de rĂ©gime ou de dĂ©mocratiser les institutions de pays autoritaires. De ce point de vue, les exemples historiques rĂ©cents ne sont guĂšre probants ni Fidel Castro, ni Saddam Hussein, ni les mollahs iraniens, ni les Talibans, ni Hugo ChĂĄvez ou Nicolas MĂĄduro n’ont Ă©tĂ© renversĂ©s par les sanctions imposĂ©es par les États-Unis, parfois durant de longues dĂ©cennies. C’est que la mĂ©canique des rĂ©gimes autoritaires n’obĂ©it pas Ă  la pure logique de la rationalitĂ© Ă©conomique. Le scĂ©nario selon lequel les sanctions infligĂ©es Ă  la Russie pourraient conduire, Ă  terme, Ă  une rĂ©volution de palais menĂ©e par quelques oligarques et militaires en rupture de ban, ou Ă  une insurrection de la sociĂ©tĂ© civile, demeure en l’état trĂšs spĂ©culatif, compte tenu de l’emprise du pouvoir sur l’espace public et mĂ©diatique. Cela n’entraĂźne pas que les sanctions soient inutiles ou sans effet, bien au contraire. Tout d’abord, comme le souligne Ă  plusieurs reprises Nicholas Mulder, les sanctions ont le mĂ©rite de politiser l’économie et d’exposer les faux-semblants que les postures de neutralitĂ© dissimulent. Ensuite, il est important de distinguer les effets, bien rĂ©els, des sanctions, de leur efficacitĂ©, qui dĂ©pend des objectifs qui leur sont assignĂ©s. Lorsqu’elles sont mises en place, les sanctions commerciales et financiĂšres produisent des effets massifs ce fut le cas lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, et ce sera aussi le cas avec les sanctions actuelles, qui sont appelĂ©es Ă  s’accroĂźtre avec le possible arrĂȘt des importations de gaz et de pĂ©trole russe, dĂšs lors que des mesures de substitution auront Ă©tĂ© trouvĂ©es Ă  mesure que l’armĂ©e russe intensifie sa guerre d’agression contre la population ukrainienne. Enfin, tout indique que le rĂ©gime des sanctions s’inscrit dans une temporalitĂ© qui dĂ©passe celle de la guerre en Ukraine l’enjeu est bien d’affaiblir durablement le rĂ©gime de Vladimir Poutine, dont les intentions belliqueuses sont dĂ©sormais clairement exposĂ©es, mĂȘme aux yeux de celles et ceux qui, pendant longtemps, trouvaient le moyen d’en douter ou de les minimiser. L’ampleur des sanctions est d’autant plus forte que les États ne sont pas seuls Ă  les appliquer. Nicholas Mulder rappelle Ă  juste titre que les sanctions sont aux États ce que les boycotts Ă©taient Ă  la sociĂ©tĂ© civile depuis la fin du XVIIIe siĂšcle le terme est inventĂ© en Irlande dans les annĂ©es 1880, mais la pratique lui est antĂ©rieure, comme l’illustre le boycott, par les courants abolitionnistes, des produits issus de l’économie esclavagiste. Ils peuvent aussi se combiner pour dĂ©multiplier leurs effets. Le livre s’intĂ©resse ainsi aux positions Ă©volutives de diverses associations fĂ©ministes, qui oscillent entre la critique du caractĂšre indiscriminĂ© des privations sur les populations civiles, et l’interpellation des pouvoirs publics face Ă  la nĂ©cessitĂ© de moraliser les relations internationales. Les acteurs Ă©conomiques entreprises, banques, syndicats, organisations Ă©conomiques internationales, etc. sont un peu moins prĂ©sents dans le livre, qui reste centrĂ© sur l’arĂšne diplomatique. Or l’on mesure bien, dans le contexte actuel, Ă  quel point la coordination des diffĂ©rents acteurs concernĂ©s par les sanctions implique de concilier des intĂ©rĂȘts contradictoires, qu’il s’agisse des investisseurs, des travailleurs ou des consommateurs. Les sanctions Ă©conomiques ne sauveront pas l’Ukraine, ni n’allĂšgeront ses peines. Mais elles ont pour mĂ©rite de montrer que le commerce et l’économie ne sont pas des sphĂšres neutres, dĂ©connectĂ©es des enjeux de puissance et des conflits de valeurs et d’idĂ©ologies. Elles nous obligent Ă  politiser, de maniĂšre plus dramatique encore que nous le craignions et sous le fracas des bombes, la question de nos modes de consommation et de nos choix Ă©nergĂ©tiques, et de leur compatibilitĂ© avec nos visions de l’ordre international. Le LycĂ©e Jean Monnet, porteur du Campus des MĂ©tiers du "Design, MatĂ©riau & Innovation", propose le support logistique mise Ă  disposition de machines-outils et apporte l'expertise de l'Ă©quipe enseignante en design aux jeunes diplĂŽmĂ©s. Moulins CommunautĂ© joue le rĂŽle de coordinateur entre les rĂ©sidents et les partenaires du projet. Elle met Ă  disposition un local administratif et un atelier de travail au sein du bĂątiment SESAME rue Berthelot - Moulins et gĂšre les locaux de la pĂ©piniĂšre, du mobilier et des services. Les rĂ©sidents sont accompagnĂ©s les 6 premiers mois par l’Agence RĂ©gionale de DĂ©veloppement des Territoires d’Auvergne ARDTA qui les intĂšgre dans son dispositif rĂ©sidence d’entrepreneur ». Cette rĂ©sidence ouvre aux jeunes designers le rĂ©seau rĂ©gional de l’ARDTA, qui finance par ailleurs les 6 premiers mois de loyer ainsi que 6 mois de salaire Ă  travers un dispositif de portage salarial via la CoopĂ©rative d’ActivitĂ©s et d’Emploi Appuy CrĂ©ateur ». Les rĂ©sidents sont alors en contrat Ă  durĂ©e dĂ©terminĂ©e et peuvent ainsi Ă©ventuellement percevoir des indemnitĂ©s chĂŽmage Ă  l’issue de leur contrat au sein d’Appuy CrĂ©ateurs. L’accompagnement d’Appuy CrĂ©ateur se traduit Ă©galement par des formations en gestion, comptabilitĂ©, techniques de commercialisation et de prospection, etc. qui sont proposĂ©es en parallĂšle de leur activitĂ© au sein de la pĂ©piniĂšre. 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